Monter sa propre entreprise est le rêve de bon nombre de personnes en ce moment. Toutefois, afin d’être en ordre aux yeux de l’état, chaque entreprise devra s’acquitter de plusieurs obligatoires. Les impôts de toutes sortes en sont des exemples parfaits dans cet ordre. Le terme de crédit d’impôt de recherche est par ailleurs devenu très célèbre dans l’hexagone durant les dernières années. Ce dernier reste toutefois incompris par bon nombre de personnes encore aujourd’hui. Découvrir les indispensables à retenir sur ce sujet reste par conséquent important.

Crédit d’impôt recherche : c’est quoi ?

Le crédit impôt recherche est avant tout une réduction d’impôt qui sera calculé sur les dépenses de l’entreprise en R&D (Recherche et Développement). Ce dernier sera par ailleurs déduit de l’IR (impôt sur le revenu) durant l’année où ces dépenses ont été faites. Ce type d’aide fiscale a été mis en place en France afin d’encourager et soutenir les efforts pour la recherche ainsi que le développement que les entreprises modernes font.

Le but est d’accroître en quelques sortes la compétitivité en matière d’appareils productifs en France. Cela permet par ailleurs d’améliorer la compétitivité entre les entreprises en passant par la recherche ainsi que les partenariats que ce soit public ou encore privé. Grâce à la CIR, bon nombre d’entreprises peuvent par ailleurs embaucher des personnes qui ont de l’expérience dans le domaine de la recherche scientifique. Le CIR concerne à la fois les entreprises nouvelles, les entreprises innovantes ou encore ceux qui sont en ZFU (Zones franches Urbaines).

Afin de pouvoir profiter pleinement du crédit d’impôt recherche, faire appel à une agence qui vous aidera à améliorer vos performances financières reste indispensable. Ce genre de professionnel devra notamment vous aider au niveau des taxes fiscales, taxes environnementales, charges sociales ou encore de la TVA.

Les étapes pour déclarer CIR

Le crédit d’impôt recherche comme la IR entre dans la catégorie des impôts. De ce fait, elle doit être déclarée. Pour la CIR, cela doit être fait au plus tard 3,5 moins après la clôture de l’année d’exercice de l’entreprise. Pour ce faire, vous devrez notamment passer par cinq étapes importantes. Premièrement, vous devrez commencer par tester votre éligibilité au CIR. En effet, plusieurs critères doivent être remplis pour pouvoir profiter de ce genre d’aide. Pour éviter les problèmes, vous pouvez faire un diagnostic gratuit directement en ligne. Deuxièmement, vous devrez sélectionner les projets qui seront éligibles. Pour cela vous devrez néanmoins comprendre la notion R&D.

Troisièmement, vous devrez également calculer le montant relatif à votre CIR (Crédit d’Impôt de Recherche) et par la suite votre dossier financier. Un CIR permet normalement d’avoir un remboursement à hauteur de 30 % pour ce qui est des dépenses relatives aux travaux R&D.

Quatrièmement, l’entreprise devra également remplir un formulaire « cerfa ». Ce dernier est utile pour toutes les entreprises lors de la déclaration du crédit d’impôt.

Cinquièmement, vous devrez transmettre le Cerfa au comptable de l’entreprise. Le dossier technique qui comprend l’état de l’art, la description des verrous technologiques de l’entreprise ainsi que du personnel et travaux menés auront pour rôle de justifier votre éligibilité au CIR.

Utilisation du montant du CIR

Le crédit d’impôt de recherche que l’entreprise reçoit peut être utilisé de différente manière. Dans cet ordre, vous pouvez notamment vous servir pour imputer l’impôt que vous devrez payer. Par conséquent, l’entreprise aura à payer moins d’impôts.

Dans le même ordre, un CIR peut également être utilisé comme créance sur l’état dont l’entreprise bénéficiera à la fin de la troisième année à partir de la déclaration du CIR.

Le montant du CIR que vous recevrez peut également être utilisé comme somme mobilisée, et ce, auprès des organismes bancaires privés ou encore publics. Cela concerne néanmoins les entreprises qui ont plus de 250 salariés et qui ne payent pas d’Impôt sur le Revenu ou encore qui a un IS inférieur au CIR. Dans tous les cas, la restitution immédiate de la valeur du CIR concerne aussi les nouvelles entreprises que ceux qui sont en redressement ou encore en liquidation judiciaire. Cela est également valable pour les JEI (Jeunes Entreprises Innovantes) ainsi que les PME (Petite et Moyenne Entreprise).

Que faut-il pour être éligible ?

Tous les projets que votre entreprise mènera ne seront pas tous éligibles à la CIR. Actuellement, afin de vérifier rapidement si celui que vous menez respecte les critères en vigueur, vous pouvez lire l’article 244 du Code général des Impôts dans le quarter B. Sachez par ailleurs qu’à cause de sa nature à la fois scientifique et fiscale, la CIR peut être assez difficile à mettre en œuvre. Afin de faciliter sa validation, chaque entreprise doit toujours garder plusieurs éléments de catégorie « reporting » de type scientifique pour justifier l’éligibilité des travaux. Cela vous servira par ailleurs de preuve des dépenses que vous avez faites en cas de contrôle fiscal. Sachez par ailleurs que le Ministère de l’Enseignement et de la Recherche publie chaque année un « Guide pour le CIR ». Vous y trouverez notamment tous les dossiers pour vous formaliser en matière de dépenses attribuées au R&D. Enfin, n’hésitez surtout pas à faire appel à un professionnel externe pour vous aider à jouir rapidement du CIR. Cela vous évitera les problèmes et vous permettra par la même occasion de vous concentrer sur votre activité principale.

Pendant les moments de crise sanitaire ou après-crise, de nombreux ménages ont rencontré des difficultés sur leur pouvoir d’achat. En effet, ils se tournent vers les entreprises qui proposent des ventes avec facilité de paiement. Beaucoup d’entreprises proposent ce type de vente à leurs clients à l’échéance. Cependant, le problème réside sur le paiement de l’intégralité des sommes dues à ces entreprises. Il existe alors un bras de fer entre le créancier et le client débiteur en ce qui concerne le recouvrement de cette dette. Il est alors important pour l’entreprise titulaire de cette créance de solliciter l’aide d’un cabinet de recouvrement de créances. Voici quelques raisons supplémentaires sur lesquelles il est important de faire appel à ces professionnels.

Le cabinet spécialisé est un expert en recouvrement des sommes impayées

Il est à savoir que la procédure de recouvrement de créance n’est pas du tout facile. C’est pourquoi il est important de la confier à un expert en la matière. Parfois, afin d’éviter la méthode de recouvrement par voie judiciaire qui est vraiment coûteuse et très longue, certains cabinets procèdent à la procédure de recouvrement amiable. Au cours de cette première étape, le cabinet joue le rôle d’intermédiaire entre le client débiteur et l’entreprise titulaire de la créance. Pour cela, il doit recevoir un mandat de la part de la société afin de recouvrer les sommes impayées par le client débiteur. Bien sûr, si cette première étape arrive à mettre fin la situation, c’est mieux et inutile de passer aux autres étapes. Mais au contraire, si elle est en vain, le cabinet spécialisé doit trouver d’autres procédures à sa disposition pour le recouvrement de la somme due. Si vous voulez en savoir plus sur le rôle de ce cabinet spécialisé, vous pouvez visiter le site gestioncreditexpert.com.

Faites appel à un cabinet spécialisé pour avoir le pouvoir de libérer certains employés de cette tâche ardue

Parfois, certaines sociétés titulaires d’une créance choisissent de confier le recouvrement des sommes impayées à un employé interne. Certains jugent cette initiative une bonne idée, mais en réalité, ce n’est pas vrai. En effet, vu que cette tâche est encadrée par la loi en vigueur, il est alors important de bien respecter les procédures à l’amiable et la procédure de recouvrement judiciaire. Seules les personnes compétentes et habilitées peuvent mener à bien cette mission. Donc, le fait d’engager un cabinet spécialisé en recouvrement de créance permet alors de libérer tous les employés de cette tâche. De plus, le recouvrement des sommes dues requiert de la technique, de temps, mais surtout de la diplomatie.

L’engagement d’un cabinet spécialisé permet de minimiser vos dépenses en matière de commission

Il est à noter aussi que si vous décidez d’engager l’un de vos personnels pour recouvrer votre créance, vous devez payer certaines dépenses supplémentaires comme son frais et ses dépenses lors de son déplacement, ses avantages sociaux, sans parler aussi de son salaire mensuel. Afin d’éviter de payer ces sommes d’argent, il est plus judicieux de faire appel à un cabinet spécialisé. En prenant cette décision, non seulement, vous dispensez votre personnel de ce travail si dur, mais aussi vous aurez à minimiser vos dépenses. En effet, les commissions de ces cabinets sont déjà fixées en fonction de la somme de votre créance. Bien sûr, dans le cas où ce cabinet échouerait, donc, vous n’aurez rien à débourser. Il s’agit donc d’une véritable opportunité, surtout si vous avez de nombreux dossiers de factures impayées à confier.

Faites appel à un cabinet spécialisé pour préserver vos relations avec les clients

Il est vrai que le recouvrement des créances que ce soit par vous-même ou par l’un de vos employés peut provoquer des conflits entre vous et vos clients débiteurs. Afin de conserver ces relations commerciales avec vos clients, il est important d’engager un intermédiaire. En effet, il assure la réalisation des démarches à entreprendre vis-à-vis des non-payeurs. Il envoie des messages privés, des e-mails, ou des appels téléphoniques en guise de relance. Toutes ces procédures n’auront aucun impact sur l’image de votre société. De plus, ce cabinet expert en recouvrement des créances réalise toujours sa mission avec professionnalisme. De même, il a le sens d’écoute et de négociation. Les techniques utilisées par le cabinet pour persuader les clients débiteurs à payer leur créance sont en général efficaces et éprouvées. En outre, si vous voulez bien que votre relation avec le client soit bien entretenue, il est important que vous fassiez savoir à ce cabinet votre souci, et à son tour, il fera de son mieux pour la préserver.

Trouver le bon mobilier pour son bureau n’est pas toujours facile. Entre la sélection des meilleurs magasins ou des bonnes boutiques, il faut également faire le choix de l’offre de qualité à moindre prix. Par ailleurs, si un bon nombre de personnes préfèrent encore repérer leur mobilier de bureau dans les magasins de proximité, d’autres adoptent une autre méthode qui permet de gagner à la fois du temps et de l’argent : en achetant des meubles directement sur des plateformes en ligne dédiées. Très pratiques, mais surtout très avantageuses, ces offres publiées sur le net vous faciliteront la vie à coup sûr ! Plus encore, vous pourrez également bénéficier des conseils de professionnels afin de dénicher le mobilier idéal qui répondra à vos attentes.

La vente de mobilier de bureau en ligne : Sur quelle plateforme ?

En effet, il est désormais possible de trouver des meubles sur Internet et d’éviter les longs déplacements dans les magasins. Pour cela, fiez-vous aux moteurs de recherche en ligne qui vous proposeront plus d’une adresse de magasin en ligne à visiter. Par ailleurs, les annuaires en ligne ou les pages jaunes sont également d’excellents moyens de trouver un bon magasin de mobilier bureau. L’avantage avec les catalogues en ligne est que vous pouvez trouver plus d’une adresse qui correspond à votre situation géographique en peu de temps. Pour encore plus de commodité, rendez-vous directement sur le site gosto.com et profitez des multitudes de meubles de bureau d’exception. Mobilier de bureau design ou mobilier de bureau professionnel, chaque offre sera classée en fonction de sa catégorie, vous n’aurez plus qu’à sélectionner. Pour les plus exigeants, chaque annonce sera accompagnée d’un descriptif détaillé afin que vous vous fassiez encore plus d’idées sur le produit de votre choix.

Mobilier de bureau en ligne ? Il s’agit de sélections de tables, chaises ou autres meubles de qualité qui s’adapteront parfaitement à votre espace personnel. Pour vos rangements ou classements divers, profitez également d’un large choix en termes d’étagères ou de bibliothèques de toutes sortes. En ce qui concerne le style, tous les meubles sont disponibles en plusieurs couleurs, il suffit de choisir en fonction de vos goûts et du style que vous souhaitez imposer à l’intérieur de votre bureau. Pour les fans de types de meubles minimalistes, penchez plutôt vers les styles scandinaves avec des designs à la fois légers et simples. En revanche, pour ceux qui aiment d’autres genres, des meubles rustiques, robustes ou imposants sont également disponibles sur la bonne plateforme d’achat en ligne. La nouvelle mode en matière de mobilier est de personnaliser ses commandes en fonction de ses besoins et de ses préférences. Pourquoi ne pas opter directement pour un ensemble complet de mobilier de bureau ? Vous ne vous tromperez pas.

Mobilier de bureau : les tendances actuelles !

En matière de mobilier de bureau, la tendance actuelle reste les grands classiques : des meubles à la fois neutres et scandinaves. Pour ceux qui souhaitent apporter une touche de modernité à leur intérieur, ce sont de véritables substituts aux anciens meubles massifs et imposants. Pour aménager vos locaux et avoir un bon agencement, il est préférable de miser sur l’espace. Évitez à tout prix le désordre et disposez de grands meubles de bureau dans un espace très réduit. Pour gagner en style, pourquoi ne pas opter pour des meubles de la même nuance de couleur ? C’est la grande pratique adoptée par les employés de bureau.

Découvrez le prix du mobilier de bureau !

Qui a dit que les meubles sont toujours chers ? En fait, le prix des meubles de bureau dépend uniquement de vos critères et de vos préférences. Une belle table de bureau en bois massif coûtera certainement plus cher qu’une petite table en bois assemblé. D’ailleurs, pour faire des économies, n’hésitez pas à acheter vos meubles directement en un seul lot, vous achèterez à prix réduit. Sachez également que les services de personnalisation de meubles, qu’il s’agisse de fabrication de meubles sur mesure ou de simples personnalisations, sont toujours plus chers et plus votre demande nécessite d’outils ou de matériaux supplémentaires, plus votre facture finale augmentera. Pour avoir une idée des prix pratiqués sur le marché ou pour connaître le prix d’un meuble spécifique, n’hésitez cependant pas à vous renseigner directement sur le bon site ou à demander un devis gratuit. Pour certaines plateformes de vente de meubles en ligne, chaque produit est déjà affiché avec ses prix réels, il ne reste plus qu’à passer commande. Sur le bon site de vente, des réductions de prix sont également proposées pour de nombreux achats.

Des services exceptionnels à ne pas manquer !

Plus que des meubles de qualité à prix réduit, vous pouvez également profiter d’une multitude de services exceptionnels lorsque vous achetez du mobilier de bureau en ligne. En plus d’une navigation simple et rapide, la bonne plateforme vous assurera également un achat sécurisé sans aucune complication, il vous suffit de faire votre choix dans la liste des catalogues. Pour un achat direct sur le site, profitez d’un service de livraison gratuit dans votre région et d’une garantie de retour des articles en cas de non-satisfaction ou lorsque les articles livrés ne vous conviennent finalement pas. Pour ceux qui ont des craintes quant au montage ou ceux qui sont moins doués en bricolage, vous pouvez être assisté sans payer de frais supplémentaires lors de l’installation de vos meubles. En effet, outre la notice de montage qui vous est offerte, les professionnels du site sont également à votre disposition à tout moment. En outre, bénéficiez de conseils et d’un accompagnement pour le choix de votre mobilier ou tout simplement de quelques astuces utiles pour l’aménagement de votre mobilier bureau. Pour faciliter le paiement, certaines plateformes vous donnent même la possibilité de payer votre mobilier selon vos conditions, ne manquez pas cette opportunité !

Comparez les offres en ligne à tout prix :

Afin de découvrir encore plus de produits de qualité en termes de mobilier de bureau, de fournitures diverses ou d’autres mobiliers qui peuvent vous être utiles, rendez-vous directement sur un comparateur d’offres en ligne ! Vous pourrez ainsi vous faire une idée plus précise des prix pratiqués sur le marché avant de passer votre commande. Pour ce faire, il suffit de se fier à une plateforme à la fois gratuite et fiable. Une fois sur le bon comparateur de prix, entrez vos coordonnées et toutes vos recherches de mobilier et en un rien de temps, les offres des différents magasins de mobilier de bureau s’afficheront avec leurs prix réels. L’avantage de ces sites ? Ils disposent d’une fonctionnalité qui permet d’afficher les offres selon un ordre de préférence des consommateurs, vous n’aurez qu’à opter pour les meubles les mieux notés. Si vous avez déjà fait votre choix de magasin de meubles, en revanche, n’hésitez pas à vérifier sur les sites de comparaison de prix qu’il s’agit bien du meilleur magasin.

Plus que des offres, des milliers d’avis sont également disponibles sur ces sites. Avis positifs et négatifs ou recommandations, retrouvez plus d’un commentaire provenant d’internautes ou de grands professionnels de l’ameublement. Pour ceux qui ne sont pas très au fait de l’aménagement intérieur et de la décoration, les conseils en ligne vous seront sûrement d’une grande utilité, d’autant plus qu’ils ne vous coûteront pas un centime.

Le suivi de trésorerie d’une entreprise est généralement un travail essentiel pour l’entrepreneur. La mauvaise appréciation peut aussi causer des difficultés pouvant entraîner le dépôt de bilan dans le pire de cas. Lorsque l’entreprise est fragile ou lorsque l’activité traverse également une période compliquée, dans ce cas, il faut que le chef d’entreprise réfléchisse aux solutions nécessaires afin d’améliorer la trésorerie de l’entreprise. Découvrez comment améliorer la gestion de trésorerie de votre entreprise.

Améliorer la trésorerie tout en travaillant sur des dettes fournisseurs

Le poste fournisseurs est généralement un premier élément pouvant vous permettre d’améliorer la trésorerie lorsque vous parvenez à allonger les délais de paiement pour le daf. Notamment, vous avez la possibilité de demander de régler tout à l’échéance si habituellement, vous payez des acomptes, ou encore de demander la réduction de montant de ces derniers et aussi de demander d’allonger des délais de règlement qui sont proposés par le fournisseur. Toutefois, une marge de manœuvre est limitée par les intentions de fournisseur lui-même et par la loi fixant des délais du règlement maximum. Également, le mode du règlement peut améliorer la trésorerie, mais à petite échelle. Pour la direction administrative et financière, le règlement par chèque peut, par exemple, vous permettre de gagner certains jours avant un décaissement par rapport à une réalisation du virement bancaire par exemple.

Améliorer la trésorerie tout en travaillant sur des créances clients

Une entreprise pour la direction financière peut aussi améliorer sa trésorerie tout en travaillant sur le poste clients, pour récupérer ses créances plus rapidement. Une gestion efficace de clients en retard du paiement doit tout d’abord être mise en place comme la relance systématique, la mise en demeure, etc. Egalement, l’entreprise doit mettre en place les procédures d’acceptation de nouveaux clients afin d’éviter les mauvais payeurs : vaux mieux ne pas effectuer un marché et aussi perdre la marge que subir l’opération de vente qui est impayée en totalité. L’affacturage peut aussi permettre à une entreprise de récupérer de la trésorerie plus rapidement : l’entreprise cède les créances clients au factor se chargeant de les recouvrir. La rémunération est généralement versée à un factor en contrepartie. Cela diminue la marge de l’entreprise indirectement. Enfin, vous pouvez aussi négocier des nouvelles conditions du règlement tout en mettant à jour les conditions générales de la vente avec le délai du règlement plus court, tout en renégociant les contrats commerciaux, tout en instaurant le système d’acompte à une commande, tout en réduisant les délais de livraison si une entreprise demande le paiement à la livraison et tout en cherchant des solutions afin de réduire les litiges clients en cours.

Améliorer la trésorerie tout en travaillant sur des frais généraux

La période financière délicate peut aussi être le bon moment afin d’analyser l’ensemble des frais généraux dans l’objectif de trouver les solutions afin de les réduire et de stopper certaines dépenses que vous pouvez vous passer et renégocier les conditions du règlement avec les partenaires. Pour la direction administrative et financière, il existe quelques exemples des pistes de travail sur des frais généraux : est-il possible de trouver un autre prestataire, comme expert-comptable, téléphonie, Internet, assureur, pouvant proposer les services similaires au coût moins élevé ? Est-il également possible d’envisager de déménager une entreprise dans le local moins cher ? Quels sont les frais généraux n’étant pas indispensables ? Comment pouvez-vous les réduire ? Pouvez-vous les supprimer ? Il existe des solutions permettant de diminuer le poids de vos frais généraux : solliciter le prestataire qui est spécialisé dans la réduction de charges externes et travailler avec les solutions de mutualisation d’achats. Le travail de fond qui est mené sur chaque poste des frais généraux peut généralement améliorer nettement la trésorerie d’entreprises pour lesquelles des charges externes représentent le poste important.

Autres moyens afin d’améliorer la trésorerie de l’entreprise

Pour les directeurs financiers, les nombreuses autres solutions peuvent aussi permettre d’améliorer la trésorerie d’une entreprise. Il convient, de plus, d’analyser tout ce qui impacte la trésorerie et ensuite d’étudier comment vous pourrez agir sur ces éléments. Notamment, vous pouvez essayer de renégocier les emprunts bancaires tout en allongeant la durée du remboursement et en trouvant les taux plus avantageux, employer le lease-back avec des actifs : cession de biens à une entreprise de crédit-bail les proposant ensuite en contrat du crédit-bail à l’entreprise, choisir si c’est possible le régime de TVA qui est caractérisé par le paiement annuel ou trimestriel de la taxe, pour des entreprises en payant chaque mois. Vous pouvez aussi choisir le régime réel normal du TVA pour les entreprises étant en crédit de TVA, choisir si c’est possible un paiement trimestriel de charges sociales, éviter de décider les distributions de dividendes pendant l’assemblée annuelle des associés et bloquer temporairement les sommes qui sont versées en comptes courants de l’associé. Une entreprise peut, en plus d’une réduction de dépenses et une amélioration de délais de règlement, lever des fonds pour améliorer la trésorerie comme l’augmentation de capital, les apports en compte courant de l’associé, l’entrée d’investisseurs, etc.

Établi par la loi 77-769 du 12 juillet 1977, le bilan social est un dossier à la fois, fiscal, comptable, mais aussi social et de précaution sanitaire qui permet à la société de réaliser une photographie de sa circonstance à un moment donné. Son objectif est de permettre une vérification de la situation en comparant l’instant présent aux deux années précédentes.

Définition d’un bilan social

La définition exacte du bilan social est donnée dans l’article L 2323-70 du Code du travail. Le bilan social résume en un document unique les majeures données chiffrées permettant de reconnaître la situation de l’entreprise sur le domaine social, d’enregistrer les réalisations achevées et de mesurer les modifications intervenues au cours de l’année écoulée et des deux années passées. Le bilan social entreprise comporte des informations de l’emploi, les salaires et charges accessoires, les situations de santé et de sécurité, les autres contextes de travail, la formation, les liens causal professionnels, le nombre d’employés détachés et le nombre de salariés détachés accueillis ainsi qu’avec les conditions de vie des travailleurs et de leurs familles dans la proportion où ces conditions dépendent de l’entreprise. Le bilan social considère l’intégralité des renseignements centraux de l’organisation et qui sont indispensables à son guidage stratégique. De ce fait, le bilan social entreprise ne doit pas être étudié comme un impératif chronophage, mais comme un outil d’analyse qui permettra à la société d’ajuster ses orientations tactiques.

Que compose le bilan social de l’entreprise ?

En réalité, plusieurs données sont analysées pour l’instauration du bilan social entreprise comme l’emploi, les salaires, les conditions d’hygiène et de protection, la formation, les relations de métier, les situations de travail et les autres circonstances de vie relevant de l’entreprise. À partir de données réelles et chiffrées, le bilan social représente un véritable instrument pour examiner les conditions sociales des salariés au cœur de leur entreprise et d’avoir une vision d’ensemble sur les modifications qui se sont réalisées lors des trois années écoulées. Il permet aussi de dégager des pistes de progrès et de définir les actions à emmener dans l’avenir. Ce dossier contributif est largement employé par les partenaires sociaux.

Qui a accès au bilan social d’une société ?

L’inspecteur du travail ou le commissaire aux comptes est désigné pour examiner le bien-fondé des données contenues sur le bilan social entreprise fournie par une société. Mais c’est le comité d’entreprise ou CE qui donnera le caractère final du bilan social après l’avoir regardé tout en donnant son avis avec un délai de 4 mois après la clôture annuelle de l’opération. Tout employé peut consulter gratuitement le bilan social de son organisation en effectuant une demande. Mise à part le comité d’entreprise, les représentants syndicaux et les actionnaires doivent être mis au courant du programme de bilan social.

Le bilan social d’une entreprise est donc le résumé en un document unique des principales données chiffrées permettant d’identifier la situation de la société sur le secteur social. Il est composé par la formation, les rémunérations, les charges accessoires, les conditions de santé et de sécurité, les informations sur l’emploi et les autres conditions de travail. En ligne, vous pouvez contacter un professionnel dans ce domaine.

Dans le cadre d’une création d’entreprise, quel que soit le secteur concerné, quelle que soit sa taille, il est toujours indispensable de définir le projet, de trouver les clients cibles, de déterminer le budget nécessaire et de choisir le statut juridique. Il est également important de trouver les meilleures solutions de financement. Respecter les étapes de la création d’une entreprise permet d’avoir rapidement une notoriété sur le marché. D’où la nécessité de demander l’accompagnement d’un professionnel dans toutes les démarches à suivre.

Définir l’idée et analyser sa faisabilité !

L’idée de créer une entreprise est souvent présentée comme une forme d’intuition ou un désir qui mûrit et s’approfondit avec le temps. Si l’idée est originale, il est généralement nécessaire de s’interroger sur sa faisabilité et son acceptation par vos futurs clients. De ce point de vue, plus votre idée est banale, plus vous devez réfléchir à son originalité par rapport aux autres offres du marché. Si vous avez plusieurs idées en tête, il est conseillé de les écrire. Ensuite, choisissez celle qui présente un caractère de nouveauté. Au passage, n’oubliez pas de prendre des précautions en légalisant le fait que vous êtes le propriétaire de l’idée. Pour ce faire, il vous suffit de contacter les bureaux administratifs qui s’occupent de la protection des droits d’auteur, de la propriété intellectuelle ou industrielle.

Ensuite, c’est à vous de vérifier que votre idée est parfaitement cohérente avec vos motivations, votre personnalité, vos objectifs, vos ressources et votre savoir-faire. Il est également important d’analyser votre idée pour voir si elle peut résister aux différentes formes de contraintes personnelles. Dans la plupart des cas, une idée de création d’entreprise nécessite des conditions spécifiques. Cela dit, rendez-vous directement sur sedomicilier.fr pour trouver un professionnel qui pourra vous aider à définir votre idée puis à créer votre entreprise.

Une étape cruciale : la recherche de clients !

Après avoir défini votre idée de création d’entreprise, il est indispensable de procéder à la recherche de vos clients. En effet, il est impossible de créer une entreprise sans clients. De ce point de vue, une idée originale peut être laissée de côté, faute d’acheteurs. En revanche, votre idée banale peut rapidement devenir très lucrative lorsqu’un bon nombre de clients sont intéressés par votre offre. C’est pourquoi une étude de marché est obligatoire.

En effet, l’analyse de marché vous permet de définir avec certitude votre clientèle et ses besoins. Elle vous aide également à vous positionner par rapport aux entreprises concurrentes. En étudiant bien le marché, vous pouvez adapter votre service, votre prestation ou vos produits en fonction des informations recueillies. Cette étude approfondie de l’entreprise vous permet également de définir une fourchette de prix acceptable par votre clientèle cible, de modifier votre stratégie initiale et d’estimer les actions marketing et commerciales à mettre en œuvre. Toutefois, l’accompagnement d’un professionnel dans l’étude du marché est indispensable pour ne pas tomber sur de fausses informations.

Trouver des solutions de financement !

En général, la création d’une entreprise ne se fait pas avec une simple épargne que vous avez sur votre compte bancaire. Il est indispensable de trouver un financement important auprès des institutions financières.   Cependant, ces institutions exigent des dossiers convaincants et corrects de votre projet de création d’entreprise avant de vous débloquer les capitaux. Ces fonds serviront à financer les besoins que vous avez identifiés pour votre entreprise.

Pour trouver un financement pour votre projet, vous pouvez demander un prêt d’honneur sans garantie et à taux zéro, un crowdfunding, un microcrédit ou un prêt bancaire. Il est également possible de trouver des investisseurs dans le capital de l’entreprise. L’appui d’un professionnel ayant une parfaite connaissance des dossiers nécessaires à la demande de financement peut être précieux à ce stade. L’expert vous aide à préparer les dossiers qui convaincront rapidement les banques. Sa mission est de vous trouver les meilleurs prêts à un taux d’intérêt adapté à votre situation.  

Choisir un statut juridique adapté à l’entreprise !

L’obtention d’un statut juridique vous permet d’exercer votre activité en toute légalité. Vous avez le choix entre différents statuts en fonction du type de votre entreprise. Cependant, il est essentiel de prendre en compte certains critères pour choisir le statut juridique de votre entreprise. Si vous avez créé votre entreprise seul, vous devez obtenir un statut d’entreprise individuelle et en votre nom propre. Dans ce contexte, vous pouvez choisir le régime du micro-entrepreneur ou l’entreprise individuelle « classique ». Il est également possible de demander le statut de société EURL ou SASU.

Pour la création d’une société avec des associés, vous avez le choix entre la SAS, la SARL, etc. Dans tous les cas, le fait de choisir votre statut juridique est crucial pour votre structure. Il est donc conseillé de faire appel à un expert juridique, un avocat ou un courtier pour vous conseiller dans la composition du contrat de société. Bien entendu, le choix du statut a un impact direct sur votre patrimoine, votre déclaration fiscale, etc.

Certainement, le logiciel de gestion commerciale vous serait utile. Vous craignez cependant de ne pas opter pour la bonne solution au moment d’investir dans ledit outil de gestion des prospects accompagnant votre croissance. Découvrez comment choisir un logiciel de gestion commerciale.

La simplicité pour démarrer et l’évolutivité à anticiper

L’acquisition de la solution de gestion commerciale fait souvent suite à l’utilisation d’outil de gestion commerciale connecté au cloud par de nombreux acteurs de chaîne commerciale afin de créer les modèles de factures avec le traitement de texte, pour tenir à jour l’annuaire des fournisseurs ou encore pour gérer les stocks avec la feuille de calcul. Afin de rationaliser les processus, le choix va se porter sur le logiciel commercial qui est capable de récupérer ledit existant, pour que tous les utilisateurs puissent garder le maximum des habitudes de travail, et aussi partager ces informations de manière intuitive et simple. La gestion de droit d’accès protégera toutes les données sensibles. L’objectif est cependant de fluidifier la circulation d’informations. Le logiciel de gestion commerciale permettra ainsi, dans sa version réseau, d’irriguer l’entreprise, en toute sécurité, avec des bonnes pratiques commerciales. Vous devez également penser à la croissance de l’entreprise comme celle des fournisseurs, des fichiers clients ou encore d’articles. Il faut que votre choix prenne en considération ce futur accroissement de volumes à gérer par un logiciel.

Choisir une solution connaissant votre métier

La gestion commerciale a ses particularités, mais aussi ses invariants, quel que soit le secteur d’activité. Une PME industrielle et une entreprise des services ne comptent généralement pas le même nombre des fournisseurs. La facturation à partir de plannings des collaborateurs et la gestion de projets préoccupent grandement la première alors que la seconde accorde l’importance majeure à la gestion des stocks. De plus, les versions métiers de logiciel gestion entreprise permettent également de bénéficier d’un ensemble des fonctions communes aux différents domaines. Par exemple, cela facilite le recrutement de l’assistante commerciale qui est formée aux familles d’outils. Aussi, ces outils spécifiques à l’activité d’entreprise lui permettent de gagner dans ses actions commerciales en précision. Le logiciel de gestion commerciale manipule et enregistre plusieurs données, concernant vos clients, leurs délais de livraison, le prix des produits, vos fournisseurs, leurs règlements, leurs achats, etc. L’analyse des managers de l’entreprise est riche d’enseignements et constitue également le facteur des prises de décisions mieux fondées et plus rapides. Dans ce cas, il faut privilégier des logiciels qui proposent un accès simplifié aux indicateurs de performances puissants et pré-configurés, avec plusieurs axes d’analyse.

Penser mobilité aux collaborateurs

Les commerciaux comptent généralement parmi les utilisateurs qui sont les plus assidus des smartphones et d’autres tablettes. Fréquemment, il leur arrive d’utiliser leur matériel personnel. Opter pour un logiciel, sécurisé aux données comme l’état de stock avant d’établir le bon de commande ou l’encours de client et qui autorise l’accès distant lors d’une visite, permet généralement de renforcer leur efficacité. Cependant, la productivité de l’ensemble d’entreprises est aussi impactée positivement. En temps quasi réel et sur le terrain, les saisies des commandes permettent, en effet, de l’exactitude d’une gestion de stocks par exemple. Pour suivre les différents indicateurs de pilotage, la direction commerciale peut aussi compter sur les données qui sont les plus récentes et les dirigeants peuvent consulter ces indicateurs à partir de leur terminal mobile préféré. Le logiciel de gestion commerciale en ligne permettra, dès les premières utilisations, d’alimenter les autres logiciels de l’entreprise. Toutes les pièces d’achats et de ventes, ainsi que les règlements validés et saisis au niveau commercial sont traduits automatiquement en écritures comptables. Le fait de s’équiper de la solution de gestion commerciale en ligne est de s’ouvrir de gros gains d’une productivité : pas d’erreur, pas de ressaisie, etc.

Le GIIN ou Global Intermediary Identification Number est directement en lien avec le FATCA, Foreign Account Tax Compliance Act. Rappelons que cette loi a été adoptée en 2010 aux Etats-Unis et qu’elle contraint toutes institutions financières à déclarer les comptes financiers et leurs mouvements détenus par des citoyens américains vivant à l’étranger et par les résidents légaux et permanents aux Etats-Unis. Cette loi vise à obliger le paiement de l’impôt américain. 

Le FATCA, l’IRS et le n° GIIN

Le FATCA a donc un but de surveillance et de sanctions éventuelles. Des traitements automatisés de renseignements à caractère personnel sont ainsi mis en place. Ils concernent l’identification des clients « US Person », mais aussi des clients « récalcitrants » ainsi que la documentation les concernant. La surveillance des comptes, la constitution d’un fichier reprenant toutes les données et les documents et enfin la communication de toutes ces informations au fisc français sont par ailleurs imposées par cette loi. 

Le terme « US Person » inclut les personnes physiques résidant aux Etats-Unis, mais aussi les entités, trusts, fiducies dont un ou des administrateurs sont une US Personne. Les succursales ou les agences non américaines, installées aux Etats-Unis sont elles aussi concernées.  

Les institutions financières doivent donc souscrire à un certain nombre de règles pour être conformes à la législation FATCA. Parmi celles-ci, elles sont dans l’obligation de s’enregistrer auprès de l’IRS, Internal Revenue Service, institution qui correspond au fisc américain et qui se réserve le droit de sanctionner les contrevenants, sous la forme d’un prélèvement de 30 % sur certains paiements taxables de revenues de source américaine. Toutes les déclarations des institutions financières non américaines sont faites auprès de l’IRS. 

C’est aussi l’IRS qui est chargée d’attribuer un numéro d’identification, autrement nommé GIIN. Il est composé de chiffres et de lettres majuscules et ne contient jamais la lettre O. 

Il est sectorisé en 7 parties, chacune reprenant des informations spécifiques telles que l’identifiant FATCA, le type, le code de catégorie et l’identifiant du pays ou de la juridiction. 

L’obtention de ce n° GIIN impose une inscription sur la liste IRS FFI qui reprend ainsi les noms de toutes les institutions financières ou autres qui sont enregistrées. Elle permet de vérifier si telle ou telle entité est bien conforme aux exigences FATCA. Ce fichier, publié mensuellement, est ensuite consultable et autorise des recherches, soit sur la liste complète, soit par nom, numéro d’identification d’intermédiaire mondial ou par pays.  

Geneva Compliance, une société au service des institutions financières

Certaines sociétés externalisent toutes les nouvelles contraintes induites par le FATCA. Elles s’adressent à des groupes, tel que Geneva Compliance qui sont spécialisés sur ces sujets. Ceux-ci fournissent des services de conformité et de déclaration fiscal, mais prennent aussi en charge les dossiers confiés, grâce à des solutions d’externalisation et de reporting aux institutions financières. 

Ce cabinet, riche de douze professionnels dont des avocats, un ingénieur, une spécialiste en trust est emmenée par deux associés qui ont depuis longtemps, fait leur preuve dans ce domaine. Le groupe Geneva Compliance compte déjà à son actif 340 partenaires. Par ailleurs, il intervient auprès de 29 juridictions et affiche à son compteur 10051 déclarations délivrées. 

Les services liés au FATCA

En tant que fournisseur de services externes, Geneva Compliance s’engage à fournir à ses clients un certain nombre de prestations en lien, entre autres, avec le FATCA. Dans un premier temps, le cabinet s’attachera à rechercher les personnes pouvant être considérées comme « US Person ». Il prendra ensuite en charge les éventuelles déclarations FATCA grâce aux documents et les informations récoltées concernant la personne. Les institutions financières ont la possibilité de bénéficier du service de sponsoring FATCA. Un contrat de ce type signé auprès de Geneva Compliance permet à l’institution demandeuse d’obtenir un numéro GIIN sans pour autant s’inscrire auprès de l’IRS, le groupe faisant office d’intermédiaire. D’autre part, les équipes de Geneva Compliance s’engage par la suite, à suivre les dossiers qui leur sont confiés en pratiquant une surveillance et en se chargeant des transmissions des données aux autorités fiscales compétentes. 

Les lois sur la finance évoluent régulièrement et leur non application peut conduire à des sanctions qui peuvent être lourdes de conséquence. Mieux vaut alors externaliser, auprès d’une équipe de professionnels aguerris, toutes les contraintes liées au FATCA.   

Il existe dans la législation française une disposition pour accompagner financièrement la mobilité des travailleurs dans le cadre de leurs activités professionnelles. Il s’agit d’une indemnité qui leur est périodiquement accordée sous condition. Depuis l’année 2020, ladite disposition a été actualisée et est devenue le forfait mobilité durable. Si de toute évidence l’employé est le bénéficiaire de ce forfait, qui a à charge son versement ? L’État ? L’employeur ? Les deux parties ?

Que comprendre du forfait mobilité durable

Le forfait mobilité durable est une disposition qui relève de la loi d’orientation des mobilités (LOM). Initié par l’État, il a pour objectif de faire d’une pierre deux coups. C’est-à-dire, apporter une assistance financière au travailleur dans ses déplacements professionnels et encourager l’usage des moyens de transport écologiques et peu pollueurs de l’environnement. Pour donc bénéficier du forfait mobilité durable (FMD), l’employé doit utiliser un moyen de déplacement personnel écologique.

Un moyen de déplacement écologique, suppose un engin qui n’émet pas de dioxyde de carbone (CO2), comme le vélo par exemple.

Avant cette loi, la règle en cours depuis 2016 était le mécanisme de l’indemnité kilométrique vélo et les indemnités forfaitaires de covoiturage. 

Désormais, le champ de couverture de cette loi s’élargit à d’autres engins et partant, les frais de sa prise en charge s’augmentent. Mais qui va payer lesdits frais ?

Que dit exactement la loi ?

La loi sur le forfait mobilité durable est couverte par deux décrets principaux.

·       Le premier décret concerne les services publics et voici un extrait de son article 1 :

« En application des articles L. 3261-1 et L. 3261-3-1 du Code du travail, les magistrats et les personnels civils et militaires de l’État peuvent bénéficier, dans les conditions prévues aux articles 2 à 7, du remboursement de tout ou partie des frais engagés au titre de leurs déplacements entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail avec leur cycle ou cycle à pédalage assisté personnel ou en tant que conducteur ou passager en covoiturage, sous forme d’un “forfait mobilité durable”.

·       Le deuxième décret est relatif aux entreprises du secteur privé et aux travailleurs qui y officient. Voici un extrait assez explicatif de son article 1 :

“Art. R. 3261-13-2.-Lorsque l’employeur assure la prise en charge de tout ou partie des frais mentionnés à l’article L. 3261-3-1, il en fait bénéficier, selon les mêmes modalités, l’ensemble des salariés de l’entreprise remplissant les conditions prévues à l’article L. 3261-3-1.

‘La prise en charge prend la forme d’une allocation forfaitaire dénommée ‘forfait mobilité durable’. Cette allocation est versée sous réserve de son utilisation effective conformément à son objet. Elle est réputée utilisée conformément à son objet si l’employeur recueille auprès du salarié, pour chaque année civile, un justificatif de paiement ou une attestation sur l’honneur relatifs à l’utilisation effective d’un ou plusieurs des moyens de déplacement mentionnés à l’article L. 3261-3-1.’

À qui s’adresse le forfait mobilité durable ?

 Sous réserve de certaines conditions, une catégorie de travailleurs est éligible à cette indemnité. Voici les cibles concernées par le forfait mobilité durable :

·       Les personnels rémunérés par un établissement public d’État ;

·       Les personnels rémunérés par un groupement d’intérêt public dont le financement provient principalement d’une subvention de l’État ;

·       Les salariés du secteur privé.

Il faut noter qu’en respect de certaines conditions spécifiques, les travailleurs à temps partiel peuvent aussi bénéficier de ce forfait.

Quel engin est concerné par le forfait mobilité durable ?

L’actuelle loi sur le forfait mobilité durable prend en compte plusieurs modes de transports dont voici la liste :

Que coûte le forfait mobilité durable ?

Le montant de l’indemnité varie selon qu’il s’agisse du secteur privé ou du secteur public.

Pour le secteur privé, elle se situe entre 0 et 500 euros par an et par employé, conformément à la loi des finances 2021 actualisée. Toutefois, l’employeur peut décider de payer au-delà de ce montant.

Pour le secteur public, elle a un plafond de 200 euros par an et par travailleur, sous réserve de faire usage de vélo ou de covoiturage au minimum 100 jours par an.

Qui finance le forfait mobilité durable ?

Le forfait mobilité durable est à la charge de l’employeur.

En retour de cet investissement, l’employeur est exonéré du montant des versements lors du paiement des charges salariales.

Il faut noter que l’instauration de ce forfait au sein de l’entreprise n’est pas obligatoire pour l’employeur. Cependant, il peut décider de le mettre en vigueur. Le cas échéant, il doit élargir le forfait mobilité durable à tous ses employés sans exclusive.

 

Alors que plusieurs entreprises ont vu leurs affaires tomber à l’eau à cause de la crise sanitaire et la crise économique entraînée par la COVID-19, Paul Morlet a surpris l’univers de l’optique en enregistrant des ventes incroyables en une année. En commercialisant plus de 200 paires de lunettes par jour, l’entrepreneur a établi un vrai record, sous les yeux des géants de l’optique. Ces derniers qui ont en général de la peine à vendre plus de trois paires par jour. Le succès de l’opticien est en effet expliqué par un concept unique en son genre, un concept auquel personne n’a jamais pensé auparavant. Certes, une stratégie commerciale qui fait la réussite du Paul Morlet management.

À la découverte du parcours inspirant de Paul Morlet

« Lunettes Pour Tous », tel est le concept de Paul Morlet dans son projet. Tel est également le nom qu’il a donné à son entreprise. Pour information, il s’agit d’une chaîne de magasins de lunettes qui a vu le jour en 2014, alors que l’entrepreneur était encore très jeune. Le secteur de l’optique était déjà si concurrentiel même à cette époque, mais le jeune lyonnais a su s’imposer parmi les grands en arrivant avec un concept dont personne n’avait soupçonné sa faisabilité.

En croyant en lui et à ses rêves, en usant du culot, Morlet a établi un exploit avec une vingtaine de points de vente éparpillés partout dans tout le territoire de l’Hexagone. En très peu temps, sa start-up s’est développée en une vitesse incroyable que même ses séniors en prennent exemple.

Pour l’entrepreneur, le secret ou plus précisément le principe est simple : allier l’audace, travailler la créativité et toujours aller de l’avant. Toutefois, l’entrepreneur ne l’a pas fait tout seul. Son succès d’aujourd’hui est en effet expliqué en grande partie par une rencontre avec Xavier Niel au moment du lancement du projet. Côte à côte, les deux entrepreneurs, animés par le goût du challenge et de la réussite, ont décidé de lancer l’entreprise « Lunettes Pour Tous » en 2014.

Pour ce faire, les deux personnages ont mis en place le Paul Morlet management défini par le fait de proposer des lunettes de qualité au meilleur prix avec un service de livraison express. Cela dit, rendez-vous ici pour vous renseigner sur le parcours de Morlet dans le secteur entrepreneurial de l’optique.

Un parcours inspirant pour les jeunes entrepreneurs

Qui aurait pu croire qu’un jeune étudiant allait devenir un potentiel homme d’affaires, un concurrent redoutable des géants de l’optique déjà sur le secteur depuis plusieurs années ? Et pourtant, Paul Morlet l’a fait. C’est un entrepreneur de l’optique malgré le fait que ses études n’ont rien à avoir avec un tel secteur, ou plutôt avoir très peu de rapport avec son activité actuelle. En effet, c’est un étudiant en électricité qui a décroché son diplôme de BEP, dès l’âge de 10 ans. Il a suivi ce chemin, et pour cela il a choisi d’intégrer la SNFC pour devenir expert en installation électrique et à la mise en marches de diverses machines.

Après ses études, il a signé un contrat auprès du SMIC pour un travail permanent. Cependant, son esprit d’entrepreneur ne lui a pas permis d’y rester pendant longtemps. Après avoir fait des jobs un peu partout pendant quelques années encore, le jeune lyonnais a fini par lancer son propre business. Et il faut admettre que ce parcours qui sort du lot n’est pas sans conséquence pour lui. Cela lui a valu, en effet, une grande polyvalence.

À quoi ressemble le concept de Morlet ?

Paul Morlet et son collaborateur Xavier Niel ont eu la merveilleuse idée de créer une entreprise qui permet de fournir des Lunettes Pour Tous, comme l’indique le nom de leur entreprise. Cela veut dire qu’ils créent des lunettes à l’attention du public, notamment la clientèle qui n’a ni beaucoup d’argent à investir dans une paire de lunettes ni du temps à l’attendre. Pour répondre à cette attente, ils viennent avec le concept « Lunettes pour 10 euros, 10 minutes chrono ». Leurs lunettes low cost sont disponibles dans le plus bref délai.

Pour y parvenir, ils font recours à des machines à la pointe de la modernité. Après tout, Morlet s’y connait déjà en diverses machines. C’est grâce à cette merveilleuse idée que l’entrepreneur et son équipe ont rendu leurs concurrents les plus féroces.

Un concept digne d’être copié !

Paul Morlet s’est inscrit comme étant le créateur des lois du business grâce à l’énorme succès de sa start-up. Sans surprise alors si l’on remarque que certaines PME suivent également ses traces et copient le Paul Morlet Management. L’entrepreneur de son côté ne se montre jamais avare de conseils. Bien au contraire, il est heureux d’être l’exemple de plusieurs jeunes entrepreneurs. Il partage même ses parcours avec plaisir avec les amateurs de business. Et la preuve, on trouve sur le web plusieurs conseils accessibles en seulement quelques clics. Quoi qu’il en soit, l’entrepreneur lyonnais ne manque jamais de conseiller les jeunes leaders de faire preuve d’audace et de culot dans ce qu’ils entreprennent.

Plan du site